« Dernière possession » : la nouvelle rubrique de HD.

Nouvel arrivé dans la gestion d’équipe et dans la diffusion de contenu rédactionne, Houston « HD » Dockers sera chaque semaine au cœur des institutions pour relater les gros coups sportifs ou financiers de la NBA.

« La NBA fourmille de moments merveilleux qui font vibrer les foules dans le monde. Que ce soit une action d’éclat, une erreur de coaching, d'arbitrage ou un transfert qui fait débat, il y a toujours matière à commenter l’actualité NBA ».

Le premier thème de "dernière possession" traitera du leadership dans l'équipe.

La gestion des égos est problématique pour la majorité des managers. Cela est d’autant plus vrai lorsque l’on a affaire à des « enfants gatés » comme les sportifs professionnels dans le sport collectif. A l’intérieur même d’un groupe se développe généralement des sous-groupes, aux caractéristiques souvent identiques (caractère, émotivité, dynamisme), mais dont la cohabitation peut se révéler « complexe ».

Un ancien champion olympique de handball, aujourd’hui consultant en ressources humaines, a accepté de témoigner :

HD : Comment des individus aux personnalités différentes mais aux aspirations identiques peuvent-ils joindre leurs forces efficacement ?

CH : Cela passe par une discipline de fer. Avant, pendant et après le projet. Les règles doivent être strictes, mesurables et surtout atteignables, car certaines personnes vont foncer et d’autres se démobiliser. Il ne faut jamais montrer sa peur, mais la dissimuler le temps de l’effort pour ensuite se ressourcer, seul ou avec ses camarades, pour contempler ce qui a été accompli.
Quand vous êtes amener à œuvrer en tant que groupe, il faut l’accepter, quoi que cela vous en coute. Il y aura des désaccords, des échecs, mais cela doit être débattu après la tache accomplie, pas au cœur de la bataille.




HD : Concernant le sport américain, les joueurs sont très médiatisés, parfois idolâtrés, et se substituent parfois au coach ou même au directeur sportif de la franchise pour définir la voie sportive à suivre. Qu’en pensez-vous ?

CH : Dans les bureaux, le GM (general manager, directeur sportif en français : NDLR) doit garder sa fonction et ne faire confiance qu’à ses conseillers. Le sportif et le financier sont diamétralement opposés, en particulier dans un modèle où la limite de la masse salariale est en vigueur.
Sur le terrain, la coutume est de dire que les joueurs d’expérience apportent leur vécu pour bien gérer les moment chauds. Je ne suis pas d’accord sur cette généralité. N’importe quel joueur sur le terrain peut amener de la folie, de l’envie et permettre à la franchise de se sortir d’un mauvais pas. Mais quand ce ou ces joueurs se substituent progressivement aux consignes du coach, celui-ci n’a plus aucune légitimité et on passe à de l’auto-gestion avec, dans le pire des cas, des joueurs en quête de reconnaissance.
En résumé, je pense que la médiatisation n’a jamais attiré ceux qui la recherchent vers les plus hautes distinctions. Ce sont les personnes les plus sobres qui remportent les titres, mais malheureusement pas toujours celles dont on se remémore de manière instinctive.


HD : Selon vous, est-ce le sport pratiqué qui forge le caractère, ou l’inverse ?

CH : Joker (rires) ! Je pense que c’est le caractère initial, même au plus jeune âge, qui va conditionner nos goûts et donc nos attentes et objectifs. Pratiquer un sport sans l’aimer est une torture et n’aide pas à l’épanouissement personnel. En revanche, avoir un modèle pour avancer vous donne une motivation inépuisable.

Nos amis québécois appellent cela le « repêchage ». En France, nous avons continué à perpétuer le terme de « draft ». Instauré depuis des décennies, ce marché aux jeunes espoirs est tous les ans le théâtre de tractations et de spéculations sur les meilleurs joueurs universitaires américains ou espoirs internationaux.

Quel ado est le plus à même d’être directement contributeur dans une équipe ? Quel joueur a le potentiel pour devenir MVP à moyen terme ? Quels sont les risques (blessures, mentalité) associés à un prospect ? Les variables sont nombreuses et la plupart des franchises passent de nombreuses heures à recouper les données comptables (rendement en match) et physiques (lors du Draft Combine) des futurs joueurs professionnels. Certains de ces joueurs ont les capacités pour devenir le joueur star d’une équipe, en termes de scoring ou de gestion de la balle. Mais le basket professionnel ne se limite pas à des un contre un, ou des trois contre trois urbains…

Rares sont les joueurs sélectionnés dans les trois premiers et à avoir eu un réel rôle dans les succès récents de leur équipe. Tim Duncan (premier choix en 1997), Allen Iverson (premier choix en 1996 : jamais titré, mais souvent placé), Jason Kidd (second choix en 1994) et Shaquille O’Neal (premier choix en 1992) sont les derniers joueurs répondant à ces critères et qui ont réellement changé le visage de franchises sur les 10 dernières années. Seuls 4 joueurs sur 30 potentiels « franchise player ». Les prévisions voient LeBron James, premier choix de cette année, comme l’un de ces joueurs, le temps dira s’il peut amener les succès dont rêve la ville de New York depuis l’époque de Starks et Ewing.

Avoir une stratégie basée sur la draft pour, à moyen terme, viser de meilleurs résultats représente donc un risque. Que certains prennent et que d'autres évitent. Mais est-il plus élevé que de recruter des joueurs moyens ou de vieux briscards qui ont roulé leur bosse dans la ligue ? L’appréciation de chacun laisse place bien souvent à un déséquilibre au niveau des effectifs NBA et alimente les discussions des consultants sur la meilleure tactique à adopter.

Très sympa à lire tes articles et plein d'originalité.
Bravo

Très sympa de ta part de lire et commenter, cela m'encourage.

c'est juste dommage qu'il n'y est pas de photo, ça rendrait l'Article plus joli sur la forme mais des articles sympas j'avais zappé ce dernier ^^

Corrigé

Tu vois que c'est plus agréable ^^

Après 30-35 matchs de saison régulière, voici un premier bilan des joueurs pouvant prétendre au titre de meilleur joueur de la saison.

#1 Shaquille O'Neal (Cavaliers) : 23/12/3



Voici actuellement le joueur le plus dominant de la Ligue dans la raquette ! Rares sont les "Big Men" bien placé au classement de la Conférence et capable de telles statistique. Face à un tel rendement, "Shaq" s'impose comme la référence de la Ligue au poste de pivot. On peut dire qu'il rentabilise son monstrueux contrat (près de 30 millions pour les 3 ans à venir).



#2 Allen Iverson (Bulls) : 25/6/6



Iverson amène une nouvelle vie à la base arrière aux Bulls après la place de Jordan laissée vacante. Sa cohabitation avec Brad Miller est un modèle du genre. Peu de joueurs peuvent rivaliser en termes de polyvalence : play-maker, scorer, défenseur. La première place des Bulls semble quasiment verrouillée cette saison dans la Conférence Est. Mais Iverson parviendra-t-il a maintenir son niveau de jeu pour lui amener un titre mérité ?



#3 Jason Kidd (Nets) : 20/6/10



Alors qu'on attendait Jason Kidd dans un rôle de gestionnaire et de leader, on découvre ses talents de scoreur au sein d'un effectif des Nets qui régale tous les soirs les fans de basket de la grosse pomme. A tel point qu'on remarque une migration de la fréquentation du Madison Square Garden vers la salle de leurs concurrents locaux.



#4 Jermaine O'Neal (Jazz) : 22/10/3



Dans la famille O'Neal, je voudrais... l'homonyme ! Lui aussi patron d'une des meilleurs raquettes de l'Ouest, Jermaine compile un double-double de moyenne après 30 matchs et le Jazz est bien parti pour faire les playoffs cette saison. D'autant que derrière lui, le collectif est bien rodé.



#5 Ray Allen (Clippers) : 25/4/4



"Jesus revient pami les siens", sous entendu parmi les meilleurs joueurs de la Ligue. Les bons résultats des Clippers sont en majorité à mettre à son crédit cette saison. Il est capable de série de points permettant de se sortir de n'importe quel faux-pas.


Mentions également pour Nowitzki (Thunder : 21/10/3), Gilbert Arenas (Hawks : 19/5/9), Jamal Mashburn (Nets : 22/6/4) et Brad Miller (Bulls : 17/10/3)

Tu oublie ton Garnett , voir Duncan. 2 Nets cités par contre ça fait plaisir, enfin surtout ça lol :

HD a écrit:

A tel point qu'on remarque une migration de la fréquentation du Madison Square Garden vers la salle de leurs concurrents locaux.

Bon avec l’avènement futur de LBJ ça devrait pas durer mais cette migration fait plaisir

Mon bilan n'est pas beau, Doc. Ca explique que je n'ai cité que les meilleurs des 10 premières équipes du classement...

Les chiffres de Garnett et Duncan pour l'occasion : 30/13/4 et 26/13/3

je vote kidd

les Jazz tournent tellement bien, n'en témoignent les stats d'O'neal. Belle suprise pour l'instant, ils sont même 2 ème !

TOP 3 et WORST 3 dans les 8 statistiques de la Ligue.

Points marqués :
#1 Nets : 99.6
#2 Thunder : 99.6
#3 Hawks : 99.0
...
#27 Pacers : 86.7
#28 Sixers : 85.9
#29 Warriors : 85.7


Points encaissés :
#1 Jazz : 87.1
#2 Rockets : 88.9
#3 Celtics : 89.1
...
#27 Bobcats : 95.6
#28 Suns : 96.8
#29 Wolves : 98.6


Passes :
#1 Nets : 23.9
#2 Clippers : 23.4
#2 Hawks : 23.4
#2 Hornets : 23.4
...
#27 Blazers : 20.3
#28 Lakers : 20
#29 Kings : 19.5


Ballons perdus :
#1 Knicks : 11.3
#2 Bucks : 11.9
#3 Nuggets : 12.6
...
#27 Sixers : 16.1
#28 Lakers : 16.4
#29 Raptors : 16.6


Interceptions :
#1 Bulls : 10.7
#2 Knicks : 9.7
#3 Rockets : 9.5
...
#27 Wolves : 7.9
#28 Hornets : 7.7
#29 Raptors : 7.5


Rebonds :
#1 Nets : 52.3
#2 Clippers : 51.7
#3 Cavaliers : 51.6
...
#27 Sixers : 47.4
#28 Pistons : 47.2
#29 Pacers : 45.8


Contres :
#1 Nets : 6.4
#2 Raptors : 6.3
#3 Wizards : 6.1
...
#27 Bobcats :3.6
#27 Hawks : 3.6
#29 Pacers : 3.1


% aux tirs :
#1 Nets : 0,460
#2 Thunder : 0,458
#3 Hornets : 0,455
...
#27 Kings : 0,426
#28 Wizards : 0,425
#28 Knicks : 0,425

Conclusion : Avec 5 premières places sur les 8 catégories listées, les Nets sont tranquillement installés sur les bases d'un futur champion !

On est présent dans aucune catégorie preuve qu'on est une team équilibrée

Le déménagement de franchise donne parfois lieu à des associations mal venues. Même si cela reste marginales, via les réseaux sociaux, de nombreuses discussions imaginent des noms plus en accord avec la ville de résidence. Voici un florilège des propositions des internautes.


* Utah Jazz : la franchise du Jazz est d'abord né à la Nouvelle-Orléans, le berceau de la musique noire par excellence. Mais dans cet état, les symboles musicaux sont inexistants. Les spécialités sont plutôt les Canyons, les mormons et le symbôle de l'état est une ruche.

Propositions : Utah Bees (abeilles), Utah Saints (en référence aux mormons), Utah Rocks (en référence aux rochers sculptés par l'érosion).


* Los Angeles Lakers : initialement implanté à Minneapolis, ville bordant une multitude de lacs naturels, les Lakers ont déménagé il y a bien longtemps en Californie, un état à l'histoire latine et lié à la conquête de l'or.

Propositions : Los Angeles Grizzlies (symbôle de l'état de Californie), Los Angelers Miners, Los Angeles Latinos.


* Toronto Raptors : créé lors de la mode "Jurassic Park" dans les années 90, la dernière franchise canadienne encore active devrait davantage capitaliser sur ses symboles naturels.

Propositions : Toronto Triliums (la fleur symbolique de l'Etat de l'Ontario), Toronto Mooses (Orignal en anglais), Toronto Caribous.


* Memphis Grizzlies : là encore, le Tennessee n'est pas l'Etat où l'on croise souvent des ours. En réalité, c'est le déménagement depuis Vancouver qui a rapporté ce symbole.

Propositions : Memphis Cheerokees, Memphis Merchants, Memphis White Stars.


* Sacramento Kings : idem Lakers, on peut y ajouter Sacramento Wings (industrie aéronautique très importante durant la seconde guerre mondiale)


* Washington Wizards : Capitale des Etats-Unis, Washington D.C. a mieux en stock que des magiciens.

Propositions : Washington Senators, Washington Red Stripes (blason de la ville), Washington Judges.


* San Francisco/Golden State Warriors : idem Lakers.

Free Agency 2005 : les 16 joueurs les plus courtisés.


A l'instar des favoris pour les playoffs, nous avons listés les 16 joueurs susceptibles de recevoir les plus belles propositions. Pour certains, ils pourraient voir leur salaire multiplié par 10 !


1. Shane Battier SF

Excellent joueur universitaire, Battier a rejoint les Pistons il y a deux saisons de celà. L'aventure touche déjà à sa fin dans le Michigan pour un joueur dont on loue les qualités défensives extérieures. En revanche, son adresse à 3 points n'est pas au niveau de ce que les observateurs imaginaient. Il s'agit de son principal chantier dans sa future équipe.

2. Pau Gasol C

Tout juste auréolé du titre de champion NBA avec les Nets, Pau Gasol aimeriat prolongé avec son club actuel. Sa première saison dans l'Etat de New York se conclue par de bons chiffres : 15 pts / 10 rbs / 2 blks. Il commence d'ailleurs à s'imposer comme un défenseur de renom dans la Ligue. En revanche, son adresse dans la raquette n'est pas au niveau de sa réputation.

3. Jason Richardson SG

Si vous êtes intéressé par une garantie de 15 points par match et par la possibilité d'agrémenter votre arsenal offensif par des "grenades", J-Rich est votre homme. Athlétiquement, c'est aussi un tout bon.

4. Andreï Kirilenko SF

Le AK-47 a la réputation de ne jamais faillir, on pourrait en dire de même de l'ailier russe. Défenseur rugueux et besogneux (2x dans le meileur cinq défensif, excusez du peu), il sera le grand gagnant de cette Free Agency avec un salaire qui pourrait être multiplié par 12 ou 13 (il touchait cette saison 1.7 M de dollars) !

5. Richard Jefferson SG

A l'instar de J-Rich, Jefferson est relativement complet sur un poste qui demande de la régularité et de la polyvalence.

Suite plus tard...

6. Tony Parker PG

Le meilleur PG free-agent laisse la place de meneur titulaire à Chris Paul dans l'Indiana. Qui osera le sélectionner ? Car malgré son bilan collectif désastreux, il reste un des meneurs les plus prometteurs des 10 prochaines années.

7. Latrell Sprewell SG

Malgré son âge (35 ans), Sprewell est plus que jamais attractif.

8. Tyson Chandler C

Excellent défenseur et seulement 23 ans pour Tyson Chandler, mais dommage que sa palette offensive soit si pauvre.

9. Zydrunas Ilgauskas C

Pas très glamour mais vraiment incontournable dans une raquette des deux côtés du terrain, le grand lituanien est à l'apogée de sa carrière.

10. Raja Bell SG

Plus spécialiste de la défense que des besognes dans la raquette adverse, Bell est un complément idéal d'un back-court avec un meneur très offensif.

Suite plus tard...

Suite et fin...

11. Shareef Abdur-Rahim SF

27 ans, l'âge de la maturité pour SAR. Pas sûr qu'il retrouve des émoluments aussi intéressants dans son futur contrat (15 millions touchés la saison dernière). En revanche, c'est un ailier complet. Drafté 3ème lors de l'historique draft de '96.

12. Kerry Kittles SG

Drafté 8ème en '96, "2K" est un poison sur les lignes extérieures. L'alter-égo défensif d'Abdur-Rahim.

13. Glenn Robinson SF

Il devrait rester à Cleveland et on comprend pourquoi en voyant ses stats (18p/6r/3a). Baisse de salaire possible (en dessous des 12 M actuels) car il ne lui reste que 2 à 3 ans de carrière.

14. Marcus Camby C

Il forme un des duos préférés des fans de highlights avec Vince Carter à Milwaukee. Les Bucks peuvent faire jouer leur BR sur ce mur défensif et ainsi conserver la doublette.

15. Antoine Walker PF

14.6 M lors de sa dernière saison à Dallas, globalement en baisse par rapport à sa saison 2003 malgré 5 minutes de temps de jeu en plus, il n'est pas sûr qu'Antoine poursuive sa carrière avec les Mavs. Ils ont ce qu'il faut pour le prolonger mais qui fera le plus de concession dans cette histoire ?

16. Joe Johnson SF

Un pari intéressant puisque Johnson n'a pas montré l'étendue de son potentiel sur les deux dernières saisons. Qui voudra lui accorder sa confiance et surtout à quel prix ?

Sympa et on compte bien prolonger Walker pour info

Sympa le récap'

Concernant Glenn Robinson il ne devrait pas resigner aux Cavs car ils sont déjà au dessus du HC il me semble.

En effet
trés mauvaise gestion des CAVS
Glen Rob deviens une proie facile!

Joli récap de cette FA, il va y avoir des coups à jouer !

Les 16 plus gros contrats « boulets » de la Ligue pour 2006



La Free Agency 2005 touche à sa fin, l'occasion de voir quels sont les contrats les moins légitimes pour la saison à venir.



16ème : Eddie Jones (BOS) : 15.1 M la saison.

11 PTS, 5 REB, 3 AST en 31 min. Le bilan statistique est honorable. Mais un bon rookie peut avoir cette ligne de stats pour cinq fois moins cher.


15ème : Derek Anderson (TOR) : 9.4 M la saison.

7 PTS, 4 REB, 2 AST en 27 min, c’est loin d’être suffisant pour prétendre au titre de sixième homme. Le salaire est limite démesuré pour un tel rendement.


14ème : Joe Johnson (NOH) : 11.8 M la saison.

Pari tenté par New Oleans en proposant près de 71 millions sur 6 saisons ! Pour un joueur qui score moins de 12 points par match en 2 ans, et qui n’est pas encore sûr d’être titulaire (en concurrence avec Sprewwell), c’est du génie ou du suicide.


13ème : DeShawn Stevenson (MIN) : 5.3 M la saison.

En 15 minutes en moyenne, Stevenson déçoit. Sa contribution n’est en rien proportionnelle à ses émolulents.


12ème : Steve Francis (ORL) : 14.5 M la saison.

La concurrence avec Dwyane Wade et d’autres jeunes comme Livingston n’arrange pas les affaires de Steve, qui aurait bien besoin de retrouver une nouvelle équipe pour exploser et justifier ses millions dans la Ligue.


11ème : Jamal Crawford (NYK) : 16.3 M la saison.

A New York cohabite Jamal Crawford, plus gros salaire de l’équipe, et Brian Skinner, un des meilleurs rapports prix/prestations. Et si son rôle se limitait à lieutenant de James et Skinner ?


10ème : Nazr Mohammed (CLE) : 5.5 M la saison.

3 PTS, 3REB par match, payés plus de 7.000 dollars par minute de jeu ! C’est très cher. Trop cher.


9ème :  Aaron McKie (NYK) : 6.5 M la saison.

Peut-être augmentera-t-il son temps de jeu la saison prochaine, et donc ses chiffres. Mais la saison écoulée lui a permis d’empocher un beau pactole sans trop rien faire (4 PTS, 3 REB, 1 AST)…


8ème : Rubben Patterson (DAL) : 6.6 M la saison.

Patterson est encore moins rentable que McKie, puisqu’il empoche 0.1 M de plus par an pour les mêmes stats (5 PTS, 3 REB).


7ème : Austin Croshere (WAS) : 9.2 M la saison.

Troisième plus gros salaire des Wizards, Croshere ne poste que 5 PTS, 5 REB et 1 AST par match. Tout simplement honteux, mais tant mieux pour lui.


6ème : Shaquille O’Neal (CLE) : 32.4 M la saison.

Vous ne rêvez pas : le Shaq est bien placé dans ce classement. Il est pourtant un énorme contributeur de son équipe dans tous les compartiments de jeu, All-Star chaque saison, second meilleur rebondeur, troisième meilleur contreur en 2005. Mais 32 M pour sa dernière année de contrat, c’est beaucoup trop comparé au reste de la Ligue. C’est le plus haut salaire annuel en activité dans la Ligue. L’exclusivité se paie !


5ème : Greg Buckner (LAL) : 3.4 M la saison.

10 points et 15 rebonds dans toute la saison pour Buckner. Quand on pense que certains font ça sur un seul match, on frôle l’emploi fictif pour l’arrière des Lakers !


4ème : Calvin Booth (PHX) : 6.6 M la saison.

Calvin Booth a joué 763 minutes cette saison, soit un ratio de 17.250 $ la minute ! Même les numéros surtaxés n’arnaquent pas autant. Pour la production statistique, c’est 3 PTS, 3 REB par match. Pourquoi payez Booth 6.6 M quand un joueur au salaire minimum peut assurer un rendement identique ?

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3ème ex aequo : Shandon Anderson (POR) 8.2 M la saison / David Wesley (DAL) 4.9 M la saison.

Leur apport est quasiment identique si l’on compare leurs stats à leur salaire. La quenelle est encore plus grosse pour Portland qui pourrait trouver semblable pour quatre fois moins cher (Stats d’Anderson : 3 PTS, 3 REB, 1 AST).


2ème : Gerald Wallace (IND) : 11.9 M la saison.

Incompréhension de la Ligue en voyant Indiana perdre Tony Parker et proposer dans le même temps un nouveau contrat de 36 millions à G-Force ! 5 PTS, 3 REB, 1 AST pour 11.9 M la saison, et la vaseline est offerte.


1er : Jalen Rose (IND) : 16.3 M la saison.

Jalen Rose est donc désigné, pour la saison à venir, braqueur de la Ligue. Il a joué 14 minutes en moyenne durant les deux dernières saisons (pour une production de 6 PTS, 2 REB, 1 AST). Belle paire d’escrocs que celle qui officie à Indianapolis !



Mention à Chicago qui compte 3 sur-payés : Eddie Robinson (7.3 M), Jamaal Tinsley (8.0 M) et Brian Grant (15.0 M)

Comme tu dis soit la venur de Johnson serau une des meilleures affaires de la FA, soit ce sera un habitué du classement ^^
Sinon Crawford touchera 21M à 30 ans !


Francis est sur le block, il sait encore jouer au basket ( regardez quand il est titu) mais avec Wade reconverti PG, puis l'arrivée de Livingston et Nate il sera qu'un back up, alors qu'il peut prétendre à mieux