Retraites saison 2009-2010

Dans le trio il y a Webber.... C'est sûr.

Malik Rose (EFF en 2009-2010 : 9.4).
1996 – 1997 : Miami.
1997 – 2003 : San Antonio.
2003 – 2007 : Los Angeles Lakers.
2007 – 2008 : Portland.
2008 – 2009 : San Antonio.
2009 – 2010 : Philadelphie.

Récompenses individuelles : Sixth Man of the Year (2008).
Récompensenses collectives : Champions NBA (1999 et 2003).

On peut sortir d’une petite université, être drafté au second tour et avoir des trophées individuels et collectifs. La preuve avec Malik Rose qui a été deux fois champion NBA avant ses trente ans et meilleur sixième homme il y a deux saisons.
Ses années aux Spurs l’ont décidé à stopper sa carrière à 34 ans seulement et valider ses diplômes en management sportif pour un jour « reproduire un modèle de réussite sportive et de longévité comme le font Pop et RC (Buford : NDLR) à San Antonio ».


Malik a deux bagues. Mais peu de gens le savent.

Shawn Bradley (EFF en 2009-2010 : 9.4).
1993 – 1996 : Philadelphie.
1995 – 1997 : New Jersey.
1997 – 2003 : Dallas.
2003 – 2009 : New Jersey.
2009 – 2010 : Atlanta.

Récompenses individuelles : Meilleur contreur (2001), Sixth Man of the Year (2007).
Récompensenses collectives : Champion NBA (2004).

Modèle de longévité (17 saisons) et de longitude (2,30 mètres sous la toise), Shawn Bradley fut le tuteur de Dirk Nowitzki à l’arrivée du bavarois en NBA. Né en Allemagne comme lui, Bradley a en revanche suivi un cursus universitaire dans l’état d’Utah, avant d’être sélectionné second à la draft 1993, derrière Chris Webber.

Alors qu’il avait des qualités au-dessus de la moyenne pour réussir, Bradley a fait une carrière plutôt discrète. Sa qualité de contre n’est pas à remettre en cause ; il a en revanche souvent eu une propension à commentre beaucoup de fautes, conséquence de sa mobilité réduite. Son pourcentage intéressant aux lancers-francs reste une qualité, aujourd'hui en voie de disparition chez les Big Men de la Ligue (coucou Dwight Howard). Champion NBA avec les Nets sous la houlette de DocJ.


Shawn Bradley restera davantage célèbre pour s’être souvent fait posterizé, plutôt que pour ses qualités de contreur durant une quinzaine d’années (cf https://www.youtube.com/watch?v=AKOCy9R-h2A)

Bravo pour cette annonce des retraites très complète et documentée

Raef LaFrentz (EFF en 2009-2010 : 9.9).
1998 – 2002 : Denver.
2002 – 2003 : Dallas.
2003 – 2008 : New York.
2008 – 2009 : Los Angeles Clippers.
2009 – 2010 : Oklahoma City.

Récompenses individuelles : Aucune.
Récompensenses collectives : Aucune.

Le profil de LaFrentz est tout à fait intéressant. Il n’a malheureusement jamais joué pour des équipes championnes. Il n’a jamais non plus été excellent une saison. En revanche, c’était un intérieur puissant, mobile, bon shooteur et contreur (3 saisons consécutives dans le top 10). Bon partout, mais excellent nulle part, cela ressemble à pas mal de joueur partant en retraite cette année.


LaFrentz a eu la malchance de jouer à Dallas en compétition avec Nowitzki, qui avait la faveur du staff…

Rasheed Wallace (EFF en 2009-2010 : 10.1).
1995 – 1996 : Washington.
1996 – 2003 : Portland.
2003 – 2006 : Minnesota.
2006 – 2009 : New Jersey.
2009 – 2010 : Utah.

Récompenses individuelles : 2x All-Star (2000 et 2001).
Récompensenses collectives : Aucune.

Grand ami de Jerry Stackhouse, avec lequel il a évolué à North Carolina durant deux saisons, Rasheed Wallace est arrivé dans la Ligue en 1995. Une seule saison chez les Bullets, et le voilà parti dans l’Oregon où il connaitra deux sélections aux All-Star Game dans une équipe constituée de talents caractériels (O’Neal, Stoudamire, Rider). Il detiendra en 2001 le record de fautes techniques (41, soit une toute les deux matchs), la faute à une bouche qui ne peut s’empecher de dire tour haut ce qu’il pense tout bas ! David Stern mettra en place une règle « anti-Wallace », consistant en l’attribution d’un match de suspension automatique au bout de 15 fautes techniques. A partir de ce moment là, Wallace fut souvent en DNP, les arbitres n’hésitant pas à le sanctionner, à tort ou à raison…

L’explosion de cette troupe de dingue enverra Sheed dans le Minnesota. Il passe trois saisons arborant la tunique des Loups, avec une moyenne de 18 points, 8 rebonds, 1 passe, 1 interception et 1 contre par match. Mais sans la moindre campagne couronnée de succès.

Puis vinrent 3 saisons à Brooklyn, aux côtés de Shawn Bradley, Jason Kidd et Jamal Mashburn. Ce quatuor n’aura pas le succès escompté, du moins pour Wallace qui terminera cette aventure sans aucun trophée.

Sa dernière saison dans une franchise d’Utah à la recherche de son identité restera anecdotique. Le Sheed est et restera une des figures du TrashTalk des années 90 en NBA, durant lesquels il aura cotoyé de sacrés phénomènes aux langues bien pendues (Jordan, Payton, Garnett, Miller


Les trois mots qui ont permis à Wallace d’être un des joueurs les plus sanctionnés techniquement !

Jerome James (EFF en 2009-2010 : 11.6).
1998 – 1999 : Sacramento.
2001 – 2003 : Seattle.
2003 – 2005 : Philadelphie.
2005 – 2006 : New Orleans.
2006 – 2007 : Golden State.
2007 – 2008 : Orlando.
2008 – 2009 : Toronto.
2009 – 2010 : New York.

Récompenses individuelles : Aucune.
Récompensenses collectives : Aucune.

C’est l’histoire d’un mec… Qui a réalisé une dernière saison dans une équipe qui compte deux superstars, et qui a bien dépanné à l’intérieur, un secteur sans joueur dominant !

8 franchises en 13 saisons, 1 passage par l’Europe début 2000, de la viande sous les panneaux, voilà ce qu’on peut dire de Jerome. Oui, Jerome, c’est lui, il va quitter la Ligue avec pas mal d’argent ammasé. De quoi préparer sa reconversion. Pas dans la chanson, on l’espère.


Jérôme pensait décrocher un beau chèque sans rien faire. Il a du se sortir les doigts pour sa dernier tour.

RomualdNC a écrit:

Shawn Bradley (EFF en 2009-2010 : 9.4).
1993 – 1996 : Philadelphie.
1995 – 1997 : New Jersey.
1997 – 2003 : Dallas.
2003 – 2009 : New Jersey.
2009 – 2010 : Atlanta.

Récompenses individuelles : Meilleur contreur (2001), Sixth Man of the Year (2007).
Récompensenses collectives : Aucune.

Scandale ! Shawn Bradley a eu un titre NBA avec les NETS en 2004 ! il était meme notre titulaire indiscutable au poste de pivot ! Bonne retraite shawn !

C'est vrai. Je n'ai pas été assez attentif. Je vais corriger son profil.

lol pas de souci mais je veux que mes anciens champions aient l honneur qu il mérite Shawn a été enorme chez nous, il a joué 2 finale NBA consécutive titulaire ils sont pas beaucoup à pouvoir s en vanter :p

Michael Finley (EFF en 2009-2010 : 13.9).
1995 – 1997 : Phoenix.
1997 – 2003 : Dallas.
2003 – 2007 : Cleveland.
2007 – 2010 : Orlando.

Récompenses individuelles : All-Rookie First Team (1996), 2x All-Star (2000 et 2001).
Récompensenses collectives : Aucune.

Né dans le Wisconsin, mais élevé à Chicago, Michael Finley s’est vite tourné vers la balle orange. Il faut dire qu’en s’appelant Michael et en vivant à Chicago, le choix s’emblait logique. Il effectue son cursus universitaire chez les Badgers pour être accueilli en 1995 par une brochette de star dans la fanchise de Phoenix. A l’époque, il y a encore Charles Barkley, Kevin Johnson ou encore AC Green. Finley est de suite spectateur des qualités sportives et humaines de ses « parrains ».

Drafté (seulement) 21ème, Finley rejoint par la suite Dallas pour y devenir un des cadres dans les années 2000, comme en témoigne ses deux caps de All-Star. Mais il s’agace rapidement de l’absence de résultat. Aussi, quand on lui propose de rejoindre les Cavaliers du Shaq en 2003, il ne laisse pas passer cette chance. Il va retrouver le Nord des USA qui lui réussit. Il n’y aura pas de nouvelles sélections aux All-Star Game, ni d’autres titres. Mais Finley, repositionné arrière par séquence, augmente son scoring avec les années.

C’est le moment que choisit Carmelo (le GM, pas le joueur) pour le faire venir à Orlando. Sur le papier, une paire Wade-Finley, c’est de l’accabit de Jordan-Pippen : du show, de la sueur et des récompenses ! La comparaison s’arrêtera là : Wade part à Boston en 2009 et Michael, un peu à la surprise générale car il a un rendement encore impeccable, prend la décision de ranger ses… Jordan.


A l’entendre, Finley aurait aimé faire toute sa carrière à Phoenix. Le destin fut différent.

Chris Webber (EFF en 2009-2010 : 14.6).
1993 – 1994 : Golden State.
1994 – 1998 : Washington.
1998 – 2003 : Sacramento.
2003 – 2010 : Phoenix.

Récompenses individuelles : 5x All-Star (1997, puis 2000 à 2003), All-NBA First Team (2001), Rookie of the Year (1994).
Récompensenses collectives : Aucune.

Mayce Edward Christopher Webber III arrive en NBA à 20 ans. Il est sélectionné en premier et, à l’époque, ce choix est celui des Warriors. Avant ça, il a formé, avec notamment Jalen Rose et Juwan Howard, le Fab Five de Michigan. L’équipe a participé à deux finales NCAA se faisant battre successivement par Duke en 1992 et North Carolina en 1993.

Il conclue sa première saison en NBA avec une ligne impressionnante : 18 points, 9 rebonds, 4 passes, 1 interception et 2 contres (en 32 minutes). Il est par conséquent nommé meilleur rookie avant de faire ses valises pour la capitale et la franchise des Bullets. Où il y retrouve… Juwan Howard ! Il y passera 4 saisons, compilant 22 points, 10 rebonds, 5 passes, 2 interceptions et 2 contres, et connaissant son premier appel au match des étoiles NBA.

En 1998, ce sont les Kings qui le font venir (en échange de Mitch Richmond et Otis Thorpe) et Webber se régale. Son association avec Mike Bibby est un pur bonheur de show. Il termine meilleur rebondeur 1999 avec 13 prises par match. Le duo est ensuite rejoint par Predrag Stojakovic en 2001. Sacramento réalise la meilleure saison régulière de l’année (61-21) mais se fait battre en 7 matchs lors des finales de conférence. Comble de malchance, la saison suivante, Chris se blesse et manque toute la saison…

Il rebondit du côté de Phoenix et montre un niveau équivalent à celui précédent sa blessure (23 points, 12 rebonds, 2 passes et 1 interception lors de la saison 2003-2004). Il réalise même quatre saisons sans manquer le moindre match ! La franchise de l’Arizona aurait le secret de jeunesse éternelle ?

Cedrick voit cependant les années passées et anticipe la retraite (prévue) de Webber en sélectionnant simultanément Griffin, puis DeAndre Jordan à la draft. Car j’ai oublié de signaler que les Suns n’avaient pas un excellent bilan durant l’ère Webber…

C-Webb quitte la NBA sur une saison honorable, dans un rôle de sixième homme, avec la ligne suivante : 12 points, 8 rebonds, 1 passe et 1 contre en 26 minutes.
Véritable adorateur de sa ville de Detroit pour laquelle il n’aura jamais pu jouer en professionnel, il se murmure qu’il aurait proposé ses services d’assistant à TKAlba. L’avenir nous dira s’ils arrivent à trouver un arrangement.


Les Kings de 2002 étaient une sacrée équipe. Mais ils ont eu la malchance d’affronter les Lakers de Bryant et O’Neal à leur meilleur niveau.

Derek Fisher (EFF en 2009-2010 : 14.7).
1996 – 2003 : Los Angeles Lakers.
2003 – 2006 : Oklahoma City.
2006 – 2009 : Boston.
2009 – 2010 : Toronto.

Récompenses individuelles : Aucune.
Récompensenses collectives : 3x Champion NBA (2000 à 2002).

Derek Fisher démarre sa carrière NBA en 1996, en étant choisi par les Lakers. Comme Kobe Bryant. Mais là où Kobe Bryant sera rapidement titualire, Fisher doit se contenter d’un poste de remplaçant derrière Nick Van Exel. Ses premières saisons, ils oscillent entre 4 et 6 points de moyenne.

A partir de la saison 2000-2001, Fisher devient sixième homme et double ses stats. Il est également présent lors du Threepeat des Lakers. Il est fier de son parcours, mais n’obtient pas gain de cause quand à une évolution de son statut au sein du groupe. Phil Jackson préfère même recruter Gary Payton, Fisher claque la porte et prend la direction de Oklahoma City, qui vient d’accueuillir une franchise NBA (ex-Sonics). Il obtient ce qu’il était venu chercher, à savoir un rôle de meneur leader. Il enregistre une moyenne de 13 points, 4 rebonds, 7 passes et 1 interception en 37 minutes. Insuffisant pour influer sur les résultats de l’équipe, qui ne suivent pas.

Ravalant sa fierté, il décide de finalement se sacrifier et de rejoindre à l’été 2005 les Celtics, champion en titre. Et ennemi juré des Lakers ! Il y retrouve une place de titulaire, ses stats baissent mais il apprécie le goût des victoires à fond ! Sans pour autant récolter une quatrième bague, battu en 2007 en finale par les Mavericks.

C’est avec les Raptors, et les frères Gasol, qu’il va effectué son dernier test, à 35 ans. Mais son avenir, il l’a trouvé dans le syndicalisme, puisqu’il passe en 2006 de vice-président à président du syndicat des joueurs NBA. Avec 3 titres NBA, il reste aujourd’hui dans le top 20 des joueurs les plus titrés de l’histoire de la Ligue.


Le Threepeat auquel a participé Fisher lui ouvrira-t-il les portes du Hall Of Fame ?

il reste combien de joueurs ?

Un seul... Dans 2 minutes...

Antonio McDyess (EFF en 2009-2010 : 18.3).
1995 – 1997 : Denver.
1997 – 1998 : Phoenix.
1998 – 2003 : Denver.
20003 – 2004 : Boston.
2004 – 2005 : Dallas.
2005 – 2010 : Los Angeles Lakers.

Récompenses individuelles : All-Rookie First Team (1996), All-Star (2001).
Récompensenses collectives : Champion Olympique (2000).

L’histoire d’Antonio McDyess ressemble à l’histoire de Benjamin Button, ce personnage fantastique qui né en tant que vieillard et meurt comme nourisson. Je vous dit ça car les dernières saisons de Dice ont été, à titre individuel, fabuleuses pour un trentenaire comme lui. Mais revenons au commencement…

Antonio nait en 1974 dans l’Etat du Mississipi. Il commence à être connu dans le milieu du basket lors de son passage universitaire dans l’Alabama. De 11 points, 8 rebonds et 2 contres en 1994, il pousse à 14 points, 10 rebonds et 2 contres la saison suivante. Les projecteurs se braquent sur lui et ne le quitteront plus. Le soir de la draft, il est le second joueur appelé par David Stern sur l’estrade. Il jouera donc pour les Los Angeles Clippers.

Wait a minute ! Les Nuggets ont flairé le talent brut et font une offre que les Clippers acceptent. McDyess croise Brent Barry et Rodney Rogers et effectue sa première saison dans les Rocheuses, avec Dikembe Mutombo, Jalen Rose et Mahmoud Abdul-Rauf. Celle-ci se conclue par une place dans l’équipe type des rookies, grace à sa ligne de stats de 13 points, 8 rebonds et 2 contres par match.
Il effectuera 7 saisons dans le Colorado (avec un court passage à Phoenix au milieu), l’aventure se terminant en 2003. Victime d’une blessure grave au genou, McDyess rate l’intégralité de la saison.

A l’intersaison, agent libre, il migre dans le Connecticut et endosse la tunique verte des Celtics. Avec 21 points et 10 rebonds, McDyess termine sa troisième saison en double-double.

Les Mavericks se jettent sur lui dès la saison suivante en voulant l’associer à Tim Duncan. Challenge relevé, McDyess échange sa place avec Grant Hill dans le Texas. L’association alléchante ne fonctionne pas comme prévu, les Mavericks rebattent les cartes.

Ils envoient McDyess chez les Lakers en échange de Granger et David Wesley. Imperturbable, Dice maintient son niveau et va réaliser cinq saisons pleines avec les Anges jaunes. En double-double, saison après saison, il est épaulé par Paul Pierce et Stephon Marbury, deux joueurs reconnus et proches en âge.

La conférence Ouest reste bougrement serré, et même si la dernière partait bien, les Lakers n’ont pas atteint la finale…
Antonio McDyess a décidé de se retirer, mais de nombreuses franchises ont cependant joint son agent car elles le pensent capables d’apporter un bonus à leur roster actuel. Et elles ne seront pas regardantes sur le salaire !




Vous connaissez désormais les joueurs que nous ne nous arracherons pas durant la free agency. Merci pour votre lecture assidue et votre éventuel commentaire encourageant !!

Beau boulot

Chouette article !
Bon je me suis chié dessus en lisant 4 Celtics ! J'avais oublié Fisher qui avait fait le début de saison , mais qui a été trade en v3

Stoudemire et Lenard n'auront fait qu'un bref passage
Mais petite mention à Joe Smith, sous utilise en SR mais titulaire une bonne partie des PO, et qui a rendu de fiers services ! On l'aurait bien repris un an mais bon, faut savoir passer a autre chose

pas de Mavs pour une fois

Très bons articles HD merci !

Parlons du cash que je pense mérité, plutôt. 20, 30, 50 $ ?

Mais pourtant McDyess avait demandé une resignature c'est normal?

Très bon article.
Nous souhaitons une excellente retraite à C-Webb.
Il aura formé avec J-Will un sacré duo pour les Suns.
S'il souhaite intégrer le staff des Suns, ce sera un plaisir. Il pourra former le jeune Griffin.

Super article, merci !
On dit bye-bye à Shammond Williams, un combo guard comme on les aime, qui a quand même été titu chez nous l'an dernier

LordMcLemore : Oui, il peut demander une resign mais si tu n'accepte pas il prend sa retraite ca arrive souvent.

HD: Tu peux prendre 100$, comme Tkalba